Imaginez un lieu qui ressemblerait à ces brocantes d’autrefois … Celles de nos grands-parents où l’on pouvait venir dénicher mille et un petits objets à des prix minuscules. De ces brocantes où derrière chaque coin et recoin se cachait une nouvelle surprise ! Depuis quelques semaines Fabienne a ouvert LA CAVE AUX TRESORS … ou plutôt sa cave aux trésors qui ne ressemble qu’à elle, qui s’apparente à son rêve d’enfant. Car la maîtresse des lieux chine avant tout pour le plaisir, celui de partager ses découvertes avec ses amis, ses voisins et tous les visiteurs de passage qui se promènent dans la rue Robert (à quelques pas de l’Abbaye St Victor). On s’y arrête d’abord le temps de découvrir la devanture, on y entre pour y dénicher un trésor (beaucoup d’objets sont à moins de 10 euros !) puis finalement on s’assoie sur le canapé pour boire un café avec la maîtresse des lieux et l’écouter parler (des étoiles plein les yeux) de sa délicieuse cave(rne) d’Ali Baba.
Une adresse qui ne restera pas longtemps secrète puisque déjà des décorateurs de cinéma, publicité et de mode ont déjà repéré l’adresse et sont venus faire leurs emplettes pour des shootings photos et des tournages de films (dont Cosmopolitan Madrid). Encore plus loin … l’hôtel 4 étoiles parisien LE BELLE JULIETTE (rue du Cherche Midi) a choisi de décorer ses chambres avec des petites théières chinées chez notre amie Fabienne. Chutmonsecret a craqué (avec les yeux) pour le fauteuil rouge 60’s (70euros) et les chaises de bar blanches année 70’s (à 150 euros les 2) … Venez tous faire un tour au n°16 de la rue Robert qui vous laissera forcément un délicieux goût de « reviens y ». La Cave aux trésors – Fabienne Combalbert 16 rue Robert 13007 Marseille. Tel 06 20 77 47 65
CamilleM
septembre 14, 2010🙂
Merci pour l’info !
JP Baysse
septembre 14, 2010Bravo !
Oui, vraiment, bravo, Fabienne ! Ces informations montrent la passion qui vous anime pour votre nouveau métier ; je vous félicite pour votre réussite et vous souhaite encore plein de joies, de bonheurs et de succès.
A bientôt,
JP Baysse